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Le cannabis est de plus en plus accepté dans le monde. Que ce soit pour des raisons médicales, pour lutter contre l’anxiété ou pour un usage récréatif, de plus en plus de personnes deviennent fans de cette plante. Cependant, une étude plus récente remet en question la pertinence de sa consommation par les adultes, en particulier les adultes de 30 ans et plus. Les implications sont que les personnes de ce groupe pourraient vouloir reconsidérer cette habitude.

Fumer de la marijuana après 30 ans n’est peut-être pas une bonne idée
Vous avez 30 ans ou plus et vous aimez fumer un joint de temps en temps (ou régulièrement) ? Eh bien, une étude menée en Australie suggère que vous devriez peut-être mettre un frein à cette habitude. Ils ont étudié les résultats de vie des consommateurs de marijuana et les résultats pour les adultes de plus de 30 ans ne semblent pas si bons. (1)

L’équipe de chercheurs de l’Université du Queensland a étudié ce que l’on appelle les résultats de réussite pour les consommateurs d’amphétamines et de marijuana. Ils ont étudié les données de plus de 8 000 mères et de 2 000 enfants sur la consommation de drogues à 21 et 30 ans. L’équipe a découvert que la consommation entraînait des taux de réussite inférieurs sur la base de neuf critères spécifiques, notamment :

Plus important
encore
, cependant, ces taux de réussite réduits ne s’appliquent qu’à ceux qui ont continué à fumer de la marijuana après l’âge de 30 ans .

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Les limites de l’étude
Avant de vous inquiéter en pensant que vous devrez arrêter de fumer avant d’avoir 30 ans (ou que vous auriez déjà dû le faire), ne vous inquiétez pas trop. Cette étude comporte plusieurs limites qui suggèrent que ses résultats peuvent ou non s’appliquer.

1. Données étranges
La première est que ces données concernent l’Australie et sont constituées uniquement de mères de famille. Elles sont également très locales et ne sont donc pas forcément représentatives des autres pays. Certaines données remontent même jusqu’en 1981. Naturellement, cela ne s’applique peut-être pas à une population mondiale moderne et contemporaine. (2)

2. Les indicateurs de réussite
Une autre limite est le choix des indicateurs qui permettent de déterminer si l’on réussit ou non. Par exemple, deux indicateurs sont l’accession à la propriété et le statut relationnel. Ces deux facteurs sont liés à de nombreux facteurs culturels et géographiques. Être propriétaire d’une maison, par exemple, est davantage lié aux priorités personnelles et à l’endroit où l’on vit qu’à la réussite. Cela dépend également du fait que l’on ait ou non une famille ou que l’on doive décider de s’installer dans un endroit. Surtout avec le mode de vie nomade numérique qui prend de l’ampleur, être propriétaire d’une maison n’est pas nécessairement synonyme de réussite.

Le statut relationnel est un autre élément délicat à prendre en compte lorsque l’on considère ce que signifie réussir. Cela peut également avoir de nombreuses influences culturelles et géographiques. Après tout, il existe de nombreux célibataires qui réussissent très bien dans le monde, tout comme il existe de nombreux couples qui ont des difficultés dans de nombreux autres domaines de la vie. Être en couple peut être important pour vous, et donc une partie de votre réussite personnelle peut l’inclure. Cela ne signifie cependant pas nécessairement que tout le monde réussira.

3. Autres usages de drogues
L’étude n’a pas non plus cherché à déterminer si les personnes en situation d’échec grave consommaient d’autres drogues en plus de la marijuana et/ou des amphétamines.

« Nous ne disposons pas de données suffisantes sur les autres drogues illicites susceptibles d’être consommées, par exemple l’ecstasy, les opiacés et même les drogues synthétiques », ont admis les chercheurs dans leur article. « Un sous-ensemble de personnes consommant du cannabis et des amphétamines peut également consommer toute une gamme d’autres drogues et il se peut que nos résultats reflètent une polyconsommation de drogues en général plutôt qu’une consommation spécifique de cannabis et d’amphétamines. »

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