Naomi Wolf : « Von der Leyen a menti au sujet de la sécurité du vaccin Pfizer » – Le Parlement européen sous le choc

mi Wolf : « Von der Leyen a menti au sujet de la sécurité du vaccin Pfizer » – Le Parlement européen sous le choc

Naomi Wolf, auteure féministe et journaliste américaine de renom, a livré un témoignage explosif devant le Parlement européen, accusant directement la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen de dissimulation des crimes de Pfizer. S’appuyant sur des documents internes de l’entreprise pharmaceutique, elle a déclaré sans détour qu’il s’agit d’un crime contre l’humanité.

Les documents Pfizer révélés au grand jour

L’histoire commence en 2021, lorsque la loi américaine sur la liberté d’information a contraint la FDA à publier des documents confidentiels de Pfizer. L’agence fédérale avait initialement demandé à un juge de garder ces documents secrets pendant 75 ans. Face au refus du juge, la FDA a proposé de publier 500 pages par mois, ce qui aurait effectivement pris 75 ans pour divulguer l’ensemble des 450 000 pages. Le juge a finalement ordonné la publication de 55 000 pages par mois.

Naomi Wolf a compris que ces documents risquaient de se perdre dans l’histoire en raison de leur volume et de leur complexité technique. Elle a réussi à rassembler 3 500 médecins et scientifiques bénévoles du monde entier qui ont analysé ces documents pendant deux ans et demi, produisant 105 rapports détaillés. Ces rapports sont désormais compilés dans un livre accessible au grand public.

Ce que Pfizer savait dès le début

Les révélations contenues dans ces documents sont accablantes. Pfizer savait dès novembre 2020, un mois après le début de la campagne de vaccination, que l’injection ne fonctionnait pas pour arrêter le COVID. L’effet secondaire le plus courant de la vaccination était justement le COVID lui-même. Cela signifie que tous les mandats vaccinaux, les licenciements, les fermetures d’entreprises et les restrictions imposées par la suite reposaient sur un mensonge délibéré.

L’entreprise savait également que le produit ne restait pas dans le muscle deltoïde comme annoncé. Les documents internes montrent des graphiques détaillant comment la protéine spike, l’ARN messager et les nanoparticules lipidiques se dispersent dans tout l’organisme en 48 heures. Ces substances traversent la barrière hémato-encéphalique et s’accumulent dans les organes majeurs, notamment le foie, les glandes surrénales, la rate, le système lymphatique et, chez les femmes, les ovaires.

Dans les trois premiers mois, Pfizer a enregistré plus de 42 000 effets indésirables graves. L’effet secondaire le plus fréquent était la myalgie, c’est-à-dire des douleurs musculaires. Le deuxième était les douleurs articulaires, car ces injections provoquent de l’inflammation. Ensuite venaient des problèmes cardiovasculaires majeurs : myocardites, péricardites, problèmes aortiques, caillots sanguins dans les poumons et les jambes. Les documents recensent également des événements neurologiques graves, des troubles auto-immuns, des dommages oculaires importants et 1 200 décès en trois mois.

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