Le départ de la famille Head, qui s’occupait de ses chevaux, a conforté Michel Sardou dans sa décision d’abandonner les courses hippiques. Aujourd’hui, il ressent toutefois de la nostalgie quand il pense à ses chevaux. Cette passion remonte tout de même aux années 1970, quand Alain Delon lui avait acheté un trotteur. « C’est un peu triste que ce soit terminé. »
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