Le lendemain, je suis rentrée à la maison et mon sang s’est glacé lorsque j’ai trouvé la maison inhabituellement silencieuse. J’ai senti que quelque chose n’allait pas. J’ai été pétrifiée de terreur lorsque j’ai ouvert la chambre de mon plus jeune fils et que j’ai découvert que ses affaires avaient disparu : ses vêtements, ses jouets et ses livres… ils avaient tous disparu.
Dans notre chambre, les affaires de mon mari avaient également disparu. Sur le lit, il y avait un mot : « Si tu es si déterminée à faire passer ton fils aîné en premier, mon fils et moi te laisserons tranquille pendant une semaine ou deux. Je ne pense pas que nous te manquerons. »
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